Concrètement, l’activité du transport est au point culminant pour émettre de gaz à effet de serre et ses impacts environnementaux sont si abondants. Pollution de l’air, de l’eau, promiscuité sonore, sans parler de bouleversement dégradant des paysages ou encore la participation au changement climatique.
Le transport et ses émissions CO₂
À noter que selon l’empreinte carbone des transports calculée, le transport routier est le plus responsable d’émissions de CO₂ qui est à son tour le principal acteur du réchauffement climatique. Selon le dire d’une Agence européenne pour l’environnement, il y avait quelques années passées, toutes les diffusions de CO₂ faites par les transports terrestres sont à plus de 44 % dispersées par des véhicules particuliers. Et plus de 18 % par des autobus et des poids lourds, 8,4 % par des voitures utilitaires légères et enfin 0,9 % par les deux roues. La pollution des transports est infecte de certaines particules fines polluant l’air extérieur. En 2013, l’OMS ou l’Organisation mondiale de la Santé a déjà classé la pollution de l’air comme une substance cancérogène pour les êtres humains. Certaines études de la santé publique ont prouvé la liaison entre la contamination de l’air extérieur et celui des maladies cardiovasculaires et respiratoires. Ces recherches soulignent les effets très graves sur la reproduction et sur l’évolution fœtale et neurologique des bébés. Actuellement, les coûts de santé en rapport avec la pollution de l’air (mort précoce, broncho-pneumonies chroniques, etc.) indiquèrent des chiffres ahurissants, entre 20 et 30 milliards d’euros pour une année et cela seulement en France.
Pollution des transports sur le milieu aquatique
Les constructions attribuées au transport entraînent des changements dans les milieux aquatiques, d’un côté sur les eaux de surface et d’autre côté sur les nappes phréatiques. La pollution des transports change d’une manière directe ou indirecte les écoulements des ruisseaux. L’eau de pluie nettoyant les étendues asphaltées des urbaines peut causer une pollution qui diffuse d’hydrocarbures et des métaux sur des stations d’épuration. Et en zone rurale, cette pollution risque d’atteindre les sols, les cours d’eau, les nappes phréatiques, et ainsi l’eau du robinet. En outre, avec le transport maritime, on dénombre certaines catastrophes écologiques rattachées aux sinistres de navires pétroliers. De ce fait, cela pourrait entraîner, à la longue, des destructions massives de certaines espèces nautiques. De même, les pollutions sonores bruyantes liées au transport maritime troublent les lignes de communication employées par les animaux marins. Il y a peu de temps, deux baleines bleues étaient capables de se communiquer via de différents océans, mais actuellement leur capacité d’échanger de communications a été restreinte de 90 % à cause de la pollution sonore engendrée par les passages humains. Cela a un effet très important sur l’adhérence des groupes et sur leur capacité à découvrir un partenaire, fragilisant ainsi la conservation de ces espèces marines en voie d’extinction.
Les transports ne sont pas le seul danger pour l’environnement
À vrai dire, aujourd’hui, aucun produit dont l’impact environnemental soit nul n’existe plus. De ce fait, de produits appelés avec fierté « verte », « bonne pour l’environnement » et « écologique » ont aussi des répercussions négatives sur l’environnement, particulièrement dû à leur transformation lors de fabrication. Malgré des efforts élaborés apportés à celui-ci afin de réduire ses impacts environnementaux, aucun procédé n’est entièrement irréprochable. Conséquemment, tout produit nécessite de matières premières ainsi que d’énergie pour être fabriqué. De plus, tout produit doit être empaqueté avec de packaging et transporté. Finalement, même s’il est à mainte reprise capable d’être recyclée, tous marchandise ou emballage deviendront tôt ou tard de déchets polluants. L’enjeu est alors d’identifier quel produit, cause moins d’impact qu’un autre pour la même utilisation. En fait, la qualité écologique d’un produit, d’un système ou d’un moyen est spécifiée par l’ensemble des impacts environnementaux causés par ceux-ci tout au long de leur cycle de vie ou fonctionnement. Et cela s’applique et concerne également à tous les moyens de transports routiers, maritimes et aériens, etc.